Outils d'aide

Infos utiles

Les contenus suivants vous aident dans le processus d'établissement du CECB :

Partage des connaissances

  • Enregistrement et correction climatique de la consommation

    Dans le cas des bâtiments existants, tout ne peut pas être vu lors de la visite ou être documenté dans les plans. Le calcul des besoins est donc basé non seulement sur ce qui est documenté, mais également sur des valeurs empiriques et, en partie, sur des hypothèses. Dans l'outil CECB, cela s'appelle « contrôle de plausibilité ». Cette comparaison n'est possible que si nous pouvons comparer ce qui peut l’être. D'une part, la consommation doit être enregistrée aussi correctement que possible et, d'autre part, les influences climatiques doivent être prises en compte en plus de celles des utilisateurs. Les conditions d’utilisation et la station météorologique secondaire sont définies dans l'outil, ainsi, lors du calcul des besoins, la correction climatique est prise en compte dans le calcul du contrôle de plausibilité.

    Enregistrement de la consommation

    Même pour les experts, l'enregistrement de la « consommation annuelle » n'est pas facile et prend souvent beaucoup de temps, en fonction des agents énergétiques. Pour éviter les mauvaises surprises, il est conseillé de clarifier la situation avec le client dès la phase d'appel d'offres.

    Habituellement, la consommation est enregistrée sur des périodes de chauffage, c'est-à-dire de mi-année à mi-année. Idéalement, la consommation d'énergie peut être calculée directement grâce aux factures. Des écarts importants dans la consommation annuelle doivent être remis en question et peuvent indiquer des données manquantes.

    Les exigences minimales pour le CECB sont de trois périodes de chauffage. Pour les systèmes de chauffage au mazout, il est recommandé d'inclure au moins 4 remplissages ou 3 remplissages et le niveau de remplissage actuel.

    La répartition entre le chauffage, l'eau chaude et l'électricité domestique doit souvent être estimée. Déterminer les parts de consommation d'un bâtiment qui n'est alimenté qu'en électricité est un véritable défi. Les valeurs de l’outil CECB peuvent être utilisées lors d’une première estimation pour les parts de l'eau chaude et de l'électricité domestique.

    Malheureusement, il arrive souvent que la consommation d'énergie soit inconnue ou insuffisamment renseignée. Il est recommandé d’estimer les inconnues et d'enregistrer ces évaluations dans l’outil CECB, par exemple sous « Mesures ».

    Correction climatique

    Le calcul des besoins en chaleur selon la norme SIA 380/1 se base sur les stations météorologiques connues tirées du cahier technique SIA 2028 et spécifiées par chaque canton. Elle sert au calcul de l'étiquette CECB, mais la « station météorologique la plus adaptée » peut être définie dans l'outil CECB pour le contrôle de plausibilité. Par exemple, pour une propriété à Brienz (BE), la station climatique « Interlaken » peut être définie au lieu de la station par défaut « Bern-Liebefeld ».

    Les données des 40 stations climatiques sont basées sur la moyenne calculée sur les années 1984-2003. Comme on le sait, les dernières années ont été de plus en plus chaudes et les valeurs annuelles des degrés-jours de chauffage sont donc généralement plus faibles. Par exemple, l'écart par rapport à la moyenne à long terme est d'environ -12 % dans les trois périodes de chauffage entre 2017-2020 pour la station climatique "Buchs-Aarau".

    Il n'est pas primordial de savoir si les différences de température accumulées ou les degrés-jours de chauffage introduits par la SIA depuis 2015 sont utilisés pour la correction climatique. En fonction du comportement des utilisateurs, il est également possible d'omettre les degrés-jours des mois d'été. Pour la correction climatique elle-même, les produits de la consommation sont calculés avec les degrés-jours. Ils sont ensuite additionnés, puis divisés par les degrés-jours de la station météorologique. Si nécessaire, les parties fixes de la consommation (par exemple, l'eau chaude) sont alors ajoutées.

    Au final, le calcul des besoins peut être optimisé dans l'outil CECB sur la base du contrôle de plausibilité.

  • Escalier
    Le traitement des cages d'escalier selon la norme SIA380/1 donne régulièrement lieu à des discussions. Il s'agit notamment de savoir où le périmètre d'isolation doit être défini avec précision, quelles surfaces d'enveloppe du bâtiment doivent être prises en compte et quelles simplifications sont applicables :
     
    Cas A : Cage d'escalier ouverte (en général, uniquement maisons individuelles)
    Pour les cages d'escalier ouvertes (pas de portes donnant sur des pièces d'habitation ou de travail), toutes les surfaces d'enveloppe du bâtiment et les valeurs U correspondantes doivent être indiquées et prises en compte en conséquence (SIA 380/1:2016 annexe C.1).
     
    Cas B : Cage d'escalier fermée
    Dans le cas d'une cage d'escalier fermée (portes donnant sur des pièces d'habitation ou de travail), toute la surface de l’enveloppe du bâtiment et les valeurs U correspondantes peuvent être indiquées et prises en compte en conséquence.
    Alternativement, la simplification avec une valeur U de 2.5W/(m2k) contre extérieur peut être appliquée, pour autant qu'il n'y ait pas de surfaces de chauffage au sous-sol de la cage d'escalier (SIA 380/1:2016 annexe C.3.3). Ceci est également valable pour les maisons individuelles ! Le périmètre d'isolation longe alors le plafond de l'étage et ne va pas au sous-sol.
    La surface assignée à l’élément de 2.5W/(m2k) comprend toutefois uniquement la surface d'ouverture dans le plafond de l'étage (surface avec marches, section d'ascenseur, trémie) selon l'aide à l’application EN-102 :
    Les autres surfaces (paliers, surfaces de dégagement, accès, plafonds, etc.) doivent être indiquées avec les valeurs U correspondantes.
     
    Cas C : Cage d'escalier en dehors du périmètre d'isolation
    Les exigences normales contre non chauffé s'appliquent : toutes les surfaces de l'enveloppe du bâtiment et les valeurs U correspondantes doivent être indiquées et prises en compte en conséquence (SIA 380/1:260 annexe C.2).
     
    Conclusion
    Le critère essentiel pour savoir si la simplification peut être appliquée ou non est celui de la « cage d'escalier fermée ». Une cage d'escalier est considérée comme fermée lorsqu'elle comporte des portes donnant sur les pièces d'habitation et de travail.
  • Normalisation du CECB

    Au printemps 2020, l'EnDK a publié la base de calcul de l'étiquette énergétique dans un document intitulé « Normalisation du CECB ». Un expert romand a récemment attiré notre attention sur une erreur dans la formule du facteur d'occupation. En attendant qu'une version corrigée du document de normalisation puisse être publiée, nous avons réécrit la formule correcte dans cette FAQ. Vous trouverez ici de plus amples informations sur ce sujet.

  • Projets facturés

    Sous « Mon profil », dans « Détails de facturation », vous pouvez générer une liste de vos projets facturés pour une période donnée. La liste de projets est générée au format Excel afin de permettre un tri individuel ou un éventuel traitement ultérieur. Outre les détails habituels du projet, vous trouverez également la date de publication et de facturation. Comme les frais de publication sont générés de manière semi-automatique, il peut y avoir une légère différence entre la date de la liste sur l’outil et la date réelle de la facture.

    La structure tarifaire du CECB prévoit que toutes les publications portant le numéro de version CECB .01 coûtent CHF 60.00 (par exemple AG-00001234.p01 et AG-00001234.01). Les mises à jour avec un numéro de version .02 et plus sont facturées CHF 20.00. La génération d'un rapport de conseil au format Word coûte CHF 90.00, facturé une seule fois (par numéro de référence CECB, par exemple pour AG-00001234). Vous pouvez donc modifier le rapport plusieurs fois par la suite et le générer gratuitement. 

    Si vous avez des questions concernant la liste des projets facturés et la facturation des frais, veuillez contacter le support CECB sur cecb@cecb.ch ou sur le helpdesk. Les questions concernant les factures elles-mêmes peuvent être adressées directement au service de facturation du CECB à facture@cecb.ch. Vous trouverez ici de plus amples informations sur le sujet.

  • Radon

    Le radon est un gaz noble naturel radioactif, présent partout, qui est incolore, inodore et insipide. C'est un produit de désintégration de l'uranium, un métal lourd radioactif, présent dans les sols et les roches. Le radon peut s'en échapper assez facilement et se répandre dans l'air ou sous forme dissoute dans l'eau. Il peut également pénétrer dans l'air ambiant des bâtiments. L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) estime qu'environ 10 % des cancers du poumon sont causés par le radon, soit la deuxième cause la plus fréquente après le tabagisme.

    Afin de réduire l'exposition de la population suisse aux rayonnements ionisants, l'actuelle ordonnance fédérale sur la radioprotection (ORaP, RS 814.501) traite l'ensemble du territoire suisse comme une zone à risque. La présence de radon dans l'air intérieur des bâtiments doit donc être évaluée et anticipée à l'échelle nationale dans le cadre d'une analyse des risques. La carte du radon publiée par la Confédération donne un premier point de repère pour savoir s'il faut s'attendre à des concentrations élevées de radon.

    Carte du radon

    En Suisse, les zones les plus polluées se situent notamment dans les Alpes, dans l'ouest du Jura et, ponctuellement, sur le Plateau.

    Outre la nature du sous-sol, la concentration de radon dans les bâtiments dépend du mode de construction ou de l'état du bâtiment et du renouvellement de l'air dans le bâtiment. C'est pourquoi les bâtiments voisins présentent souvent des concentrations de radon différentes. Seule une mesure permet d'obtenir une certitude sur la concentration en radon. La concentration de radon est mesurée en becquerels par mètre cube (Bq/m3). 1 Bq/m3 signifie que, dans un mètre cube d'air, un noyau atomique de radon se désintègre chaque seconde en émettant un rayonnement ionisant.

    L'ORaP révisée le 1er janvier 2018 définit le niveau de référence de 300 Bq/m3 pour la concentration moyenne de gaz radon sur une année dans les locaux où des personnes séjournent régulièrement, plusieurs heures par jour. Les cantons sont compétents pour l'exécution des mesures de protection contre le radon dans les bâtiments.

    La rénovation énergétique d'un bâtiment modifie l'étanchéité de l'enveloppe du bâtiment, les conditions de pression et également le taux de renouvellement de l'air dans le bâtiment, ce qui peut entraîner une augmentation de la concentration de radon à l'intérieur. En même temps, la rénovation est aussi une chance de réduire la concentration de ce gaz à un niveau inoffensif pour un coût modéré. Il est recommandé de prendre contact suffisamment tôt avec un spécialiste du radon. Un assainissement du radon après coup est beaucoup plus coûteux.

    L'OFSP et les cantons recommandent d'examiner les mesures suivantes lors de la rénovation des bâtiments :

    • Mesurer le taux de radon avant l'assainissement
    • Étanchéiser les sols de caves naturelles, les passages de conduites, les fissures et les joints dans les sols et les murs de caves
    • Supprimer les flux d'air de la cave vers les pièces d'habitation en calfeutrant les portes et les passages.
    • Éviter les sources de dépression (hotte à vapeur avec évacuation d'air, ventilateurs de WC, cheminées, chauffe-eau PAC avec évacuation d'air vers l'extérieur, etc.) Pour les poêles individuels (par ex. poêles-cheminées, chaudières à gaz, etc.), il faut veiller à ce que l'apport d'air neuf soit suffisant. L'idéal serait d'installer une arrivée d'air neuf directe.
    • Installer une ventilation contrôlée (Minergie) est avantageux.
    • Éviter les espaces vides entre l'isolation et le mur extérieur, qui favorisent la remontée de l'air du sol chargé de radon et sa pénétration à l'intérieur du bâtiment par des endroits non étanches de la maçonnerie
    • Planifier des mesures supplémentaires simples, car il faut toujours avoir 2-3 atouts en réserve, qui peuvent être mis en œuvre après une rénovation en cas de valeurs élevées. Par exemple, l'installation d'un diffuseur d'air extérieur (ALD) pour réduire une dépression dans le sous-sol ou, en cas de travaux importants dans le sous-sol, l'installation d'un drainage du radon. Si nécessaire, ce dernier peut être activé (mis sous pression) à l'aide d'un ventilateur.
    • Mesurer le taux de radon après l'assainissement

     

    L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) met à disposition de nombreuses informations sur le sujet à l'adresse www.ch-radon.ch. Vous trouverez également sous ce lien la liste des spécialistes du radon reconnus.

  • Récupération de chaleur

    Il arrive que les expert·e·s CECB demandent au support comment enregistrer une installation de récupération de chaleur qui ne figure pas comme type standard parmi les producteurs de chaleur disponibles dans le CECB. Il s'agit par exemple de la récupération de chaleur d'une douche, d'un poêle à bois ou même d'une source située à proximité.

    En principe, ces systèmes de récupération de chaleur se caractérisent par le fait qu'ils ne nécessitent aucune énergie externe. La chaleur est disponible librement, quasiment comme un sous-produit. L'énergie finale pondérée de la récupération de chaleur est donc de 0 (l'éventuelle énergie auxiliaire pour la commande et la régulation peut être saisie comme « Autres consommateurs » dans « Électricité »).

    Il est donc judicieux de choisir le type « Énergie solaire thermique » comme producteur de chaleur et de lui attribuer une désignation appropriée. Si l'on prend l'exemple de la récupération de chaleur d'une douche, cela se présenterait comme suit :

     

    Dans ce cas, l'installation de récupération de chaleur est utilisée exclusivement pour l'eau chaude. Par conséquent, seule la zone alimentée en eau chaude doit être adaptée :

     

    Dans « Aperçu énergie finale » sous « Résultats », le résultat peut être contrôlé :

     

    Important : pour la traçabilité, il est important de justifier la part de récupération de chaleur. Un calcul ou une estimation correspondante doit être effectué par l'expert·e CECB si rien n'est disponible. Donc dans cet exemple pour le taux de couverture de 20 %, respectivement les 501 kWh de WE-3.

    Si ce calcul donne un résultat en kWh, le mieux est de calculer manuellement le taux de couverture correspondant à l'aide de l'énergie finale de « Aperçu énergie finale », afin que le résultat corresponde finalement au calcul.

  • Saisie des fenêtres

    Depuis la version 4.7 de l'outil en ligne CECB (décembre 2016), la méthode de saisie des fenêtres dans les murs extérieurs a été légèrement modifiée : par défaut, l'outil déduit automatiquement les surfaces des fenêtres du total des surfaces de façades dans chaque direction, à condition que le mur dans lequel les fenêtres ont été inclues soit indiqué (la case intitulée « ne pas inclure de fenêtres aux murs pour travailler sans soustraction automatique de fenêtre » est automatiquement sélectionnée dans l'outil). Vous trouvez plus d'informations à ce sujet ici.

  • Station climatique

    Conformément à la normalisation du CECB, toutes les classifications CECB sont calculées de manière identique dans toute la Suisse, à une exception près : la station climatique. Dans le calcul des besoins de chaleur pour le chauffage selon la norme SIA 380/1, la station climatique influence aussi bien les déperditions thermiques par transmission et par renouvellement que les apports de chaleur. Dans le calcul standard du CECB, on utilise en outre toujours l'altitude au-dessus du niveau de la mer de la station climatique, qui n'intervient toutefois que dans une faible mesure dans la détermination des déperditions thermiques par transmission.

    Les cantons définissent dans leurs ordonnances sur l'énergie quelles stations climatiques peuvent être utilisées pour les certificats énergétiques et le CECB. Une distinction est faite en fonction de la région climatique et parfois de l'altitude. Quatorze cantons n'imposent qu'une seule station pour l'ensemble du territoire cantonal, tandis que les cantons alpins du Tessin et des Grisons en imposent respectivement cinq et six. L'outil CECB limite la sélection en fonction des prescriptions du canton concerné. Le choix correct de la station est extrêmement important, car les différences peuvent tout à fait être de l'ordre de 10 % des besoins de chaleur pour le chauffage.

    Dans certains cas, ces différences peuvent être trop importantes pour la plausibilité et pour l'étude de variantes dans le rapport de conseil, c'est pourquoi l'outil CECB permet de définir, en plus de l' « altitude » de l'objet, les « valeurs les plus connues des stations climatiques » comme base de calcul avec les données d'utilisation actuelles. Les 40 stations du cahier technique SIA 2028 (données climatiques pour la physique du bâtiment, l’énergie et les installations du bâtiment) peuvent être librement sélectionnées dans ce champ. Par exemple, pour un objet situé à Vevey (VD), il est possible de sélectionner la station climatique « Pully », située à proximité immédiate, au lieu de la station « Payerne », prescrite par le canton. Les données actuellement disponibles des stations climatiques se basent sur la moyenne à long terme des années 1984-2003.

  • Wizard dans le CECB

    En informatique, un programme d'assistance pour la saisie ergonomique des données est appelé « Wizard » (en anglais = magicien). L'outil CECB possède deux programmes d'assistance, le "Wizard chauffage/eau chaude" et le « Wizard Bâtiment ». L'idée est de générer les meilleures valeurs proposées possibles, qui permettent un premier contrôle de plausibilité rapide et qui doivent ensuite être optimisées par une procédure itérative. Utilisés correctement, les assistants peuvent tout à fait augmenter la productivité.

    Le Wizard Chauffage/eau chaude aide à saisir les systèmes les plus courants. L'application est simple et intuitive.

    Le Wizard Bâtiment est plus sophistiqué dans son utilisation. Il comprend un générateur de surfaces et un générateur de valeurs U des éléments de construction. La méthode se base sur une étude dans laquelle plusieurs milliers de bâtiments résidentiels ont été analysés en fonction de certaines caractéristiques, comme par exemple l'année de construction, l'orientation, la situation des annexes, la géométrie, etc. Le Wizard Bâtiment génère des valeurs proposées pour les surfaces et les valeurs U à partir des valeurs de saisie de l'utilisateur et de la typologie. La qualité des résultats de l'assistant peut varier fortement en fonction de l'objet et des valeurs saisies. Les valeurs proposées peuvent être très proches de la réalité pour des bâtiments typiques, comme par exemple un immeuble locatif des années 50, mais peuvent aussi être très éloignées de la réalité pour une maison individuelle des années 60 à l'architecture ambitieuse. C'est à vous de décider si vous voulez utiliser l'assistant. Si c'est le cas, il convient de l'utiliser avec précaution et de remettre en question toutes les valeurs proposées. Le Wizard Bâtiment n'est pas un magicien, comme le suggère son nom anglais, mais un assistant qui doit être supervisé.

Supports marketing

Vous trouvez ici les informations sur la brochure, le logo et le matériel d'exposition.

  • Brochure CECB

    Vos clients trouveront toutes les informations sur le CECB dans la brochure.

     

  • Logos pour expert·e

    Vous pouvez télécharger ici les logos du CECB. Pour leur utilisation, merci de vous référer au règlement d'utilisation (version 2024).

     

  • Roll-up

    Si vous avez besoin d'un Roll-up pour une manifestation, merci de vous adresser à l'une des agences suivantes:

    Pour la Suisse romande :
    Agence romande CECB
    Avenue de Pratifori 24C, 1950 Sion
    Mme Arielle Porret, chargée de communication,
    027 205 70 15 ou cecb@cecb.ch

    Pour la Suisse allemande :
    Geschäftsstelle GEAK
    Bäumleingasse 22, 4051 Basel
    Herr Mathias Hefti
    041 61 205 25 60 oder info@geak.ch

    Pour la Suisse Italienne :
    Centrale operativa CECE per la Svizzera italiana
    c/o Associazione TicinoEnergia
    Ca' bianca
    Via San Giovanni 10CH-6500 Bellinzona
    cece@cece.ch